Remi Chapeaublanc | Photographer

Merci merci merci !

Comme vous avez pu le constater, Barbara n’est pas au mieux de sa forme en ce moment. Mais je vous rassure, si techniquement ça coince un peu, le moral est toujours là ! D’ailleurs, si Rémi garde le sourire, c’est aussi grâce à vous et à vos messages de soutien.

Notre photographe-aventurier a été très touché par toutes vos propositions d’aide financière. Oui mais il y a un petit détail qu’il est important de préciser aujourd’hui : ce voyage est 100% auto-financé. En partant, Rémi savait que ça ne serait pas forcément facile tous les jours et justement, ça fait partie du jeu. Avoir des problèmes mécaniques quand on part à moto, évidemment, on s’en passerait. Mais réussir à se débrouiller façon Mac Gyver au milieu de l’Europe de l’Est, c’est aussi ça l’esprit du projet.

Tout ça pour dire qu’organiser un Barbarathon, c’est vraiment adorable et on ne vous remerciera jamais assez pour ça. Mais si vous voulez vraiment donner un coup de pouce au projet, la meilleure chose à faire reste d’en parler autour de vous ! Cela nous aidera à trouver des diffuseurs, ainsi qu’à organiser une expo une fois Rémi rentré en France. Comme ça vous aurez même l’occasion de lui acheter un cliché et l’exposer au dessus de votre cheminée !

On vous promet que même s’il doit troquer sa moto contre un tricycle, Rémi ira jusque là-bas et reviendra avec de belles photos.

(d’ailleurs s’il y va vraiment en tricycle, l’année prochaine on l’envoie faire Koh Lanta ^^)

4 commentaires

Nooonnnnnn ! Pas le tricycle…. >_<

Écrit par Rémi, il y a 13 ans Répondre

Et surtout, pas Koh Lanta !

Sinon, merci de nous faire partager tout ça, et encore une fois bon courage.
Comme j’avais dit ailleurs, si tu passes par le Kirghizistan (c’est pas si loin, mais c’est chiant pour les visas par la route), tu es le bienvenu !

Écrit par Franck C., il y a 13 ans Répondre

Saez – Tricycle jaune

Au gré des vents sur mon tricycle jaune,
dans les couloirs du métro je tourne
et le vent peut souffler lui et moi nous sommes comme une flamme indestructible.

Autour du monde j’irai avec toi, si tu veux derrière moi en amazone,
moi j’ai pas besoin de Harley Davidson sur mon tricycle jaune.

Refrain :
Sur mon tricycle jaune,
sur mon tricycle jaune,
viens je t’emmène,
viens je t’emmène,
viens je t’emmène sur mon tricycle jaune.

Quand la nuit tombe sur les autoroutes,
que tous les gens sans poésie se marrent
de me voir pédaler comme un galérien sur mon tricycle jaune.
Moi je pense aux gens dans le fond des métros,
qui s’enterrent dans leur propre tombe.
Quand au-dessus des villes nous, nous volons sur les ailes du tricycle jaune.

Refrain :
Sur mon tricycle jaune,
sur mon tricycle jaune,
viens je t’emmène,
viens je t’emmène,
viens je t’emmène sur mon tricycle jaune.

Quand l’apocalypse sonnera la fin,
que le trafic sera bloqué au péage,
il y en aura un que tu verras passer,
ce sera le tricycle jaune.

Refrain :
Sur mon tricycle jaune,
sur mon tricycle jaune,
viens je t’emmène,
viens je t’emmène,
viens je t’emmène sur mon tricycle jaune.

Écrit par Emmanuel, il y a 13 ans Répondre

Le voyage est autofinancé mais si des problèmes de fonds se posent pour poursuivre jusqu’au bout, on peut contribuer financièrement mais en échange d’une photo particulière (la même) développé pour chaque contributeur, ou d’une invitation particulière à une expo, ou une déduction de la contribution à l’achat d’une photo futur. Tous les modèles peuvent être envisagées et cela permettra à Rémi si le besoin s’en fait sentir de se sentir plus léger au cas ou.

Franchement, j’ai beaucoup d’estime pour les gens qui se lancent dans ce type d’aventure donc moi je suis partant.

Écrit par Emmanuel, il y a 13 ans Répondre

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