Ancien blog
Punarbhava
Punarbhava (sanskrit, pali : punabbhava), est généralement traduit par re-naissance.
Si les différentes écoles du bouddhisme ont proposé des interprétations différentes de la renaissance, répondant de manière variée à des questions comme "s’il n’y a pas d’âme, alors qu’est-ce qui renaît ?", ce questionnement, ainsi formulé, est à la limite de la philosophie bouddhique.
La philosophie bouddhique se veut en effet pratique : tout enseignement n’est qu’un moyen, et les mots ne sauraient recouvrir la réalité ultime. Se poser les mauvaises questions entraîne inévitablement à s’embourber dans un imbroglio insoluble, plutôt que de pratiquer le chemin menant à la libération.
Dame Nature -edit-
La légende d’Algonquin dit cela « en dessous des nuages habite la Terre-Mère de qu’est dérivée l’Eau de Vie, qui à son sein nourrit des plantes, les animaux et les hommes » (Larousse).
La séance vu par Dame Nature, sur son blog… "émouvante" qu’elle dit =)
Ranger sa chambre // Livres photos offerts
En ce moment, je mets des "choses" dans des "boites", pour que ma vie (me) paraisse moins bordélique.
C’est vraiment pas marrant de ranger sa chambre.
Mais ça a aussi du bon, comme redécouvrir que j’avais des livres photos à offrir à mes lecteurs !
Ok ok… je suis un peu à la bourre… ça fait presque 1 mois que (grâce à la Méchante) j’ai la possibilité d’offrir à 3 d’entre vous des livres photos de la Collection Prestige chez PhotoService. Les 3 premiers commentaires auront donc rapidement de mes nouvelles par mail.
Sinon côté photo, j’ai hâte de vous présenter une séance photo qui fut très émouvante… et qui aboutira surement avec une nouvelle collaboration. J’attends le GO définitif de la demoiselle.
Ma salle de bain et moi
Une série sur le thème "Ma salle de bain et moi" et des essais sur les traitements croisés… je m’amuse quoi =)
La suite comme d’habitude sur mon Flickr
Rencontre
Une rencontre, vraiment pas comme les autres…
La suite de la rencontre sur mon Flickr
Mes projets en cours
Se mettre les doigts dans le nez, se racler la petite crotte de nez qui gène, c’est mal ! et à vrais dire je n’ai jamais vraiment compris pourquoi. Alors j’ai décidé d’en faire une série de photos, dédicacée à tous ces petits trucs que tous les gens fonts, mais que personne ne montre parce que c’est mal.
Des rides, des marques, des cicatrices, du temps, du simple, du vrais. Aujourd’hui des portraits, demain du nu…
Parce qu’on ne mélange pas assez les arts, collaboration avec un artiste que j’adore, Veuch évidement. Pour les sceptiques, si si ça avance, je prévois bientôt une deuxième séance de shoot.
Des pénis, des bites, des verges, des sexes masculins. Je vais continuer à faire des photos pour encyclopénis, dans le seul but de relever le défit que m’a lancé Maïa un soir d’hiver : faire des photos de pénis qui ne soient ni vulgaires, ni exib, ni connotées homo… Dur dur, mais tellement intéressant.
Un affrontement corps/tête, mort/vie, couleur/N&B… Une envie à creuser, une idée en train de germer à arroser.
Une introspection, une envie de se comprendre, de se connaitre : des autoportraits naturellement, parfois violents…
Et puis mon dernier projet, qui lui sera sans fin… de la photo de nu simplement, parce que j’aime ça et que je n’ai pas envie de me justifier. Le développement est pour le moment axé sur le traitement croisé, ceci évoluera encore en fonction de mes humeurs.
Si l’un (ou plusieurs) de ces projets vous intéressait ou vous intriguait, si vous vouliez poser ou juste vous faire prendre en photo… vous pouvez me contacter à cette adresse : contact [at] lecrapo (point) fr
Je suis évidement friand de vos remarques alors n’hésitez pas à laisser des commentaires
pRELUDE (edit)
Voici une partie de la pochette CD que j’ai réalisé pour un groupe d’étudiant en musicologie.
Ce n’est ni de la musique, ni un conte pour s’endormir (quoique ?), c’est un projet radiophonique. Ne me demandez pas trop d’explication, j’ai du mal à en saisir toutes les subtilités. Si l’un des intéressés passait par là il pourra en expliquer la substance dans les commentaires.
C’était une commande de type « carte blanche »
lui : tu écoutes, puis tu fais une pochette avec ce que ça t’aura inspiré…
moi : Ok =)
Voici le son qui a inspiré ce travail :
Clayton James Cubitt
Oui je sais, c’est un peu le bordel ICI en ce moment… changements d’envies, changements d’humeurs, billets pas (du tout) réguliers… la merdouille quoi.
Dernièrement j’ai discuté avec des amis, et j’ai eu (encore une fois) des critiques (donc constructives), mais pas toujours agréables à entendre…
- « Rémi, ton blog on ne peux plus le regarder au boulot avec ce que tu y mets maintenant… «
- « Tes photos sont de plus en plus bizarre, j’accroche de moins en moins… «
- « Arrête de faire des photos de sexe, tu tombe dans la facilité… «
Alors voila, moi et mes éternels questionnements, je prend le doute et me demande ce que je veux vraiment et comment je le veux ?
J’aimerais ton avis, toi lecteur du CrapoBlog (cette requête est pour tout le monde, même toi tonton, papa, petite soeur, super Jojo… et autres amis connus ou inconnus) (oui mon père me lit ! et alors ?).
Je pense que le CrapoBlog va changer un peu de direction, mais pas vraiment dans le sens que beaucoup aimeraient.
J’ai prévu de vous présenter bientôt mes différents projets en cours et de faire un appel aux modèles ; pour savoir si vous seriez intéressé pour participer à tel ou tel projet.
En attendant, je vous laisse découvrir un photographe découvert via Sex in Art, c’est tout simplement magnifique ! et ça donnera un avant gout à ceux qui veulent savoir comment je prévois de faire évoluer mes photos… désolé pour les moins de 18ans.
Prendre son pied… #2
Version 2 de Prendre son pied…
L’explication – pas certaine même si fortement probable – de l’expression « prendre son pied » est la suivante : lorsque les corsaires ramenaient leurs trésors, ils le convertissaient en or : un tiers pour le roi, un tiers pour l’armateur et le dernier tiers pour l’équipage. Pour se départager l’or restant équitablement, ils en faisaient des petits tas de 1 pied de haut (soit env. 33 cm). Ensuite, suivant la hiérarchie, chacun prenait son « pied », le tas d’or de 33 cm de haut qui lui revenait Aujourd’hui, il ne subsiste plus dans cette expression que l’idée du plaisir (pas uniquement sexuel d’ailleurs) sans l’idée d’argent.