Ce soir je souris et ne sais pas par où commencer
Ces 4 ou 5 derniers jours il m’est arrivé tellement de choses, que je ne sais plus par quoi ou par où commencer. Hier soir j’ai écris mon coup de blues car il fallait que ça sorte, que je le couche sur le clavier. Mais malgré ce coup dur, il n’a JAMAIS été question de rentrer ni de baisser les bras ! J’ai une famille géniale, des amis solides et des lecteurs (ou devrais-je dire des supporters ?) tous simplement épatant. Tous vos petits mots m’ont fait énormément de bien et m’aident à passer les caps comme ceux-ci.
Du coup ce soir j’ai au moins une dizaine d’articles en tête à écrire sur ce blog, mais je ne sais pas si j’aurais le temps de tout raconter. En tout cas je pense en programmer certains pour la semaine, car la fréquence des points Wifi ne va pas aller en s’améliorant. Car le Kazakhstan a beau être « the greatest country in the world » ça reste le Kazakhstan…
Donc on se dit à très vite ?
6 commentaires
Ya intérêt oui, à très vite :)
Qui a parlé de rentrer ? Tant que Barbara et toi êtes sur pied, il n’en est pas question !
Quel plaisir de te lire ! Juste merci de partager tes aventures, ça donne envie d’aimer la vie :)
Continue d’avancer ! Merci de partager tout ça avec nous.
Et puis on veut savoir la suite de cette histoire de « LOL du soir » sur twitter (http://twitter.com/#!/Ulan_Bastsaaard/status/126337133060440065) : c’est qui ce mec qui te montre une photo d’un autre mec sur Barbara ? Il savait que c’était ta Barbara ? C’est un pur hasard ? Dis-nous !
Ha ha ha, c’est juste que le type ne savait pas que j’étais le propriétaire de la moto, sur laquelle 10 minutes avant il avait fait « joujou » avec ses potes… >_<
Ok. Je suis presque déçu : j’ai cru que c’était une photo prise à l’hôtel en Ukraine où les mecs de la sécu t’avaient fait mariner longtemps avant de te rendre ton équipement de moto. Tu avais raconté avoir rattaché tes 2 pneus à Barbara et monté tout le reste dans ta chambre. J’ai donc cru que cette photo avait été prise à ce moment là, d’où mon impatience face à ce que je croyais être une incroyable coïncidence.