My Life
Denis Rouvre – Eden
Denis Rouvre est l’un de ces photographes que je respecte et admire depuis longtemps.
Il est rangé dans la même chambre que Richard Avedon chez moi.
Je viens de retourner voir sont portfolio -suite à l’article Thématics écrit par Nadia– et là : OH SURPRISE !
Il a fait une nouvelle série que je ne connaissais pas, Eden.
C’est exactement le genre de travaux qui me touchent énormément, en deux mots : j’adore.
C’est simple, lumineux, érotique, aérien, graphique, sans fioritures… tout ce qui me plait.
Je vous encourage vivement à aller vous délecter des photos, de celui que je considère comme un des meilleurs portraitistes (que je connaisse). Attention, les enfants et ceux qui sont au boulot, ce n’est pas toujours très soft. Pour les grands et les prévenus, c’est par ici.
Expo / Vernissage : Ceratophrys Cranwelli
C’est avec un immense plaisir que je vous annonce, ma très prochaine exposition au Dune.
Ma première exposition en solo ; la plupart des oeuvres exposées n’ont encore jamais été présentées ni publiées, elle sera composée de 3 séries différentes.
Le vernissage se tiendra au Dune le vendredi 19 juin à partir de 19h.
L’entrée est OPEN et j’espère vous y retrouver nombreux ; amis et +1 sont les bienvenus o//
L’exposition restera en place le week-end suivant.
………………….
Ils en parlent déjà :
Nekoto
Dwam (aussi sur SG)
Tout pour les yeux
Monsieur Lâm
Hélène
Histoire 2
Déclencheur
Navie
3615-MyLife
Navo
Pour les photographes, vous me retrouverez aussi le lendemain en face d’Éric Delamarre, lors de la rencontre organisée par les éditions Eyrolles et Déclencheur.com.
Le thème du débat sera sur « Comment débuter et bien vendre ses photos ?« . Ça se passe le samedi 20 juin de 16h à 18h, à la librairie Eyrolles.
Toutes les infos pour y assister sur Focus Numerique.
………………….
C’est peut-être sur-fait de nos jours, de remercier les gens, mais j’aimerais tout de même le faire… et oui je suis un grand fou dans ma tête.
J’aimerais remercier Navie pour toute l’aide précieuse et le temps consacré à l’organisation, Nekoto pour la superbe affiche, Nadia et Lâm qui ont su me donner des coups de pouces tout au long de mon parcourt, Potoche qui saura pourquoi, Benoit Marchal qui m’a invité à la rencontre de samedi pour représenter les jeunes photographes indépendants, enfin ma famille et mes amis proches pour m’avoir supporté (et ce n’est pas fini !).
De la confiance à la confidence
Ou l’inverse, je ne sais plus.
J’avais envie d’écrire, mais je ne savais pas quoi.
J’avais envie de lui dire, mais je ne savais pas comment.
J’avais envie, mais je ne pouvais pas.
Cercle de petits vicieux quand tu nous tiens ; enfoiré.
Encore une histoire d’œuf à la con et de poule au pot.
C’est en écrivant qu’on devient écrivain, mais ce n’est pas en restant con qu’on changera les choses.
Ça tombe bien, je n’ai aucune envie de changer les choses.
Juste de les rendre belles et de te faire confiance.
Ou d’avoir ta confidence et de te rendre belle ? Je ne sais plus.
—
(Sinon ce week-end j’étais à Lyon avec Silphi, Lâm, Justine, Nora, Ruben, Nadia, Charlotte, Sanh, Joseph, Tam, Brice, Jahzz et encore pleins d’autres gens. Il y a eu de la Lense Party, du brunch, du soleil, de la friche urbaine, de la zone militaire désaffecté, du sexe, de la rigolade, du gros son, de l’alcool et d’autres truc que j’ai oublié à cause de ce dernier… pfiou. Et bientôt l’annonce officielle pour le 19 juin.)
Armée juqu’aux dentelles
Quel bonheur lorsqu’une séance photo se termine, qu’on regarde les photos et que ça faisait des mois qu’on en rêvait.
Les poupées et leur peau si pâle m’ont toujours fasciné. Je m’étais donc dit que j’allais continuer dans cette voie et pourquoi pas en faire une série ? C’était sans compter que ma modèle fétiche allait me présenter Magdalena. J’ai proposé l’idée, les filles ont sauté de joie et accepté sur-le-champ ; et voici la naissance d’une séance photo « Poupées de cires et de porcelaines« .
Trouver des idées, un lieu, les modèles, une maquilleuse, un style, des vêtements… organiser une séance photo n’est pas toujours de tout repos, mais bon dieu ce que c’est excitant.
Pour cette séance, ça a donc été Emilia et Magdalena à la pose, Marie au make-up, Camille au stylisme et Pauline au prêt de salon et aux nombreux coup de main.
La séance complète se retrouvera surement sur mon Flickr -en attendant- une photo de notre poupée de cire ;)
PS : Rien à voir avec la choucroute, mais j’ai pris la photo ci-dessous cet après midi, et merde c’est beau des cils quand même !
I’m a p’tit mousse
Il y a presque 1 an, j’ai fait cette photo : I’m a little pirate
Il y a presque 12 minutes, j’ai eu envie de m’amuser.
Cette année finie la piraterie, place à la marine !
(oui enfin, le premier qui fait un commentaire sur mon slip, je l’égorgerais tout de même… faut pas déconner non plus)
Permis de se reconstruire
Surement la plus belle chose qui soit encore accessible à chacun d’entre nous.
Accessible ne veux pas dire à portée de main, loin de là.
Non, je ne veux pas faire d’éloges à l’amour, d’autres le feront beaucoup mieux que moi.
J’aimerais parler de l’après, cette sensation brûlante, si dure à partager, si dure à effacer.
Que se passe-t-il après l’amour, lorsque l’autre est loin de là ?
Des chagrins d’amour, quoi de plus banal en somme.
Mais quoi de plus douloureux lorsque c’est lui, lorsque c’est nous.
L’après, un tableau d’utopie qui brule devant nos yeux, un corps nu gisant sur le sol un matin d’hiver.
L’après, cette sensation qui ne nous quitte pas d’une semelle, hante nos nuits des jours durant.
Et pourtant, et pourtant…
Brûlante, elle nous réchauffe tellement parfois, telle une bouillotte trop chaude qu’on se colle sur le ventre.
Certain feront tout pour la garder au fond d’eux, tel un syndrome de Stockholm.
Pourquoi ? Pourquoi kidnapper nos souvenirs ? Pour le meilleur et pour le pire ? Foutaise.
Et si le remède à l’amour était d’aimer encore.
J’ai aimé, puis aimé, et encore aimé, mais je n’ai jamais oublié.
L’amour n’efface pas, elle soulage.
Mais si c’est si facile de passer de l’après à l’avant, pourquoi ne pas prendre un aller simple ?
Parce que l’espoir nous retiens dans ses bras.
Parce que l’isolement nous fait de l’œil.
Parce que la peur nous met un couteau sous la gorge.
Parce que tout, simplement.
Permettez-vous.
Trop heureuse pour être peureuse
La peur (cf. Amygdale) est censé nous permettre de survivre, mais si elle devenait justement un frein grippé ?
Si cette peur, protectrice au premier abord, nous bloquait plus que nécessaire ?
La peur nous empêcherait-elle d’être heureux ?
A méditer…
En attendant c’est à Lyon, avec une bande de jolis loutrons (Silphi, Brice, Jahzz, Lâm, Charlotte, Justine et d’autres dont j’ai oublié les prénoms) que j’ai passé un week-end plutôt sympathoche ! Au programme : voiture, rigolades, restos, photos, jeux-video, usine désaffecté, rencontres, Lense, Lyon69… et j’en passe.
Teasing : de la photo d’usine qui fait mal aux yeux pour très bientôt.
Thomas Quenton
Un simple billet pour vous présenter Thomas Quenton, un nouveau modèle. Nous avons fait un test ensemble, d’autres photos très bientôt.
Pour le moment c’est plutôt écriture du scénario de mon court métrage. Poser par écrit tout ce que nous avons pu sortir avec Navo (co-auteur), et penser dès maintenant aux moyens techniques pour relever le défi. J’aime plus que tout ce projet, super excitant et issu d’un réel travail d’équipe !
Tout ce que je peux vous dire pour le moment, c’est que ce sera un film en stop-motion… pas vraiment comme les autres.