Orange mécanique
Londres, dans un futur proche. Alex DeLarge est un jeune délinquant passionné de musique de Beethoven, obsédé par le sexe et adepte de la violence (ultraviolence dans son propre jargon). Lui et sa bande (les droogs ou droogies) s’expriment dans un argot anglo-russe auquel l’auteur du roman, Anthony Burgess, a donné le nom de Nadsat, le mot droog faisant ainsi référence au mot « ami » en russe. Autre exemple : leur boisson préférée n’est autre que du Moloko+, du lait « dopé ». Alex erre dans la ville en commettant des passages à tabac, des viols, des bagarres entre bandes. Un jour, il est arrêté. Une thérapie révolutionnaire, financée par le gouvernement qui fait de lui son cobaye dans le cadre d’un programme expérimental d’éradication de la délinquance, va le dégoûter de la violence. Mais, lors de sa remise en liberté, il rencontre l’une de ses victimes antérieures, et il s’avère incapable de se défendre alors que la personne se venge…