Sauter du coq à l’âne
Jusqu’au 13e siècle, le mot "ane" (sans accent circonflexe) désignait une cane, la femelle du canard. La forme d’origine de l’expression était "saillir du coq en l’ane" et s’expliquerait par la "maladresse" du coq qui, parfois, délaisserait les poules et tenterait de s’accoupler avec une cane.
Sur une idée originale de Moodz
4 commentaires
hé! très bien joué! et avec une profondeur de champ plus importante non ? je dis ça je ne dis rien, j’aime bien ce "deux en un"
hé! très bien joué! et avec une profondeur de champ plus importante non ? je dis ça je ne dis rien, j’aime bien ce "deux en un"
oups… désolé pour le double com…
Ah bon ?!? Mais c’est du lard ou du cochon, ton explication ? (tiens encore une expression à expliquer…).
Pour ma part, je réferais l’expression du coq à l’âne, aux frères Grimm, et leur fameuse histoire à propos d’un âne, un chien, un chat et un coq, qui ont tous fui leur maison et qui, malgré leur dissemblance, se tiennent les coudes (si tant est qu’ils aient des coudes), pour se déjouer de malandrins et finalement hériter de leur maison où ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants (euh, pour les enfants, c’est moins, sûr, je ne m’en souviens plus bien !).
Or donc, pour effrayer les méchants voleurs, l’âne avait mis sur son dos le chien, puis sur le dos du chien, le chat et enfin en haut le coq ! Il fallait donc passer par des étapes pour atteindre le coq.
Et de ce fait, passer du coq à l’âne, signifie alors aller d’un sujet à l’autre sans aucune relation entre les deux !
Voili, voilou,
C’était ma minute culturelle… ;o)