Katmandou
Le saviez vous : Tourist & Local bus
Combien de personnes fait-on rentrer dans un Tourist Bus de 22 places assises ?
De 2 à 20, suivant la saison (chauffeur compris).
Combien de personnes fait-on rentrer “dans” un Local Bus de 22 places assises ?
De 40 à 70, suivant l’expérience et l’enthousiasme du rabatteur.
Le bus ne s’arrêtant que le moins possible, c’est au rabatteur de crier les destinations et de faire monter à chaque coin de rue le maximum de personnes… sans que le bus n’ai besoin de s’arrêter bien évidemment.
A titre indicatif, un trajet d’une heure en local bus m’a coûté environs 0,2€ (avec les sourires des gens en plus).
Le saviez vous : Vaches sacrées, gare à vous
Tout comme en Inde, les vaches sont des animaux sacrés au Népal (ce qui se comprend facilement vu que 80% de la population est hindouiste).
Au même titre que pour les humains, si vous tuez une vache, même accidentellement alors qu’elle dormait en plein milieu de la route, vous êtes passible de prison.
Les vaches qui traînent dans la rue, appartiennent souvent à des paysans, qui viennent les rechercher plus tard dans la nuit.
Ici ce ne sont pas les flics qui font des barrages routiers…
… mais les enfants de la rue, avec une simple cordelette !
Impossible de franchir cette corde sans donner un droit de passage, qui s’élève à ce que vous aurez réussis à négocier. Si vous essayez de franchir cette corde sans leur approbation, vous vous exposez à marcher avec 2 enfants accrochés à chaque pied.
Ce qui me laisse perplexe, c’est que ce sont les locaux qui donnent plus que les touristes… ça donne matière à réfléchir. D’ailleurs j’ai bien l’intention d’écrire un post sur ce que je pense de ça.
Les népalais sont des Geek
Voici deux petites surprises que j’ai trouvées ici, qui m’ont fait plus que sourire.
Et oui, eux aussi adorent les (homemade) lolcats.
WTF ? Katmandou se fait aussi envahir ?
Sans parler qu’on trouve du Wifi plus facilement que de l’électricité… allez comprendre pourquoi.
Enfin à Katmandou
C’est à 5h du mat que le téléphone de la chambre d’hôtel nous réveil, pour nous prévenir que le retour est programmé. Je suis impressionné par l’organisation, pas si évidente pour gérer quelques 200 passagers.
C’est donc vers 9h30 que nous redécollons, direction Katmandou cette fois-ci. o/
J’en ai profité pour faire connaissance avec quelques personnes dans l’avion, un groupe de français et leur guide, ainsi que quelques autres personnes qui voyagent en solo. Le retour se fait en Business-Class et pour changer… je dors.
L’arrivée sur Katmandou est encore plus belle qu’hier, je trépigne déjà d’impatience.
Petite mauvaise surprise, qui intéressera surement mes amis photographes… Qui a dit que les filtres UV ne changeaient rien à l’image et ne fessaient que protéger l’objectif ? Et bien les petits flairs que vous voyez sur le côté droit viennent du filtre UV (pourtant de bonne qualité).
Les roues se posent sur le tarmac, l’avion s’arrête. Maintenant je prie pour que les bagages soient toujours dans le nôtre avion (nous avons changé d’appareil entre temps).
Welcom to Katm… New-Delhi !
Après la bonne surprise de Barhain, nous voici dans l’avion direction Katmandou !
Voyage très sympa (je dors tout du long) et superbe arrivée en face de l’Himalaya. L’avion tourne au-dessus de la vallée de Katmandou, tourne encore une fois, et repart dans le sens inverse. =/
Le pilote ne dit trop rien, les hôtesses nous disent que c’est à cause des nuages… mais oui bien sûr ! (jugez en vous-même sur la première photo du diptyque).
C’est que 30 min plus tard que le pilote lâche le morceau, un problème technique l’aurait contraint à faire demi-tour, nous allons à l’aéroport international le plus proche : New Delhi.
Mais pourquoi va-t-il atterrir à Delhi alors qu’il n’a pas pu le faire à Katmandou ? L’hypothèse qui me semble la plus probable est qu’il n’y avait pas les pièces nécessaires à Katmandou et qu’une immobilisation de l’appareil aurait coûté trop cher à la compagnie.
Il parait que le pilote n’avait même pas bu… mais oui bien sûr, c’est comme le coup des nuages ça !
Et zou, une nuit à New-Delhi, avec tous les passagers, dans le même hôtel. Evidemment, interdiction de sortir à cause des visas Indien que nous n’avons pas. Il ne nous reste plus qu’à prier pour que l’avion soit réparé rapidement.