portrait
High-Key : Réalisez des portraits lumineux
Qui aurait juré qu’un jour j’écrirais dans un magazine ?
Surement pas mes proches, qui me connaissent comme LE champion de France dans la double catégorie fautes d’orthographe et mots qui n’existent pas, imbattu de 1992 à 2002.
Vous trouverez dans le Compétence Photo de ce mois-ci, 9 pages d’articles sur le High-Key écrit du bout de mes petits doigts !
Comme je n’ai jamais reçu de cours photo et que je me sens encore moins l’âme d’un prof d’école, j’ai essayé d’envisager ces articles à la manière d’un workshop, d’un vrai retour d’expérience. Je vous raconte comment je travaille, comment je prépare mes portraits, les petits secrets de mes High-Key.
Conseillé par Patrick auprès de la direction du magazine, j’ai accepté cette mission avec – je dois l’avouer – un poil d’appréhension. J’y ai finalement pris beaucoup plus de plaisir que je n’aurais imaginé. C’était vraiment agréable de remettre a plat mes connaissances, de se poser la question de pourquoi je faisais tel ou tel réglage, d’habitude de manière instinctive.
J’aimerais quand même bien remercier Patrick et Gérald pour m’avoir fait confiance, mais surtout Charlotte, Joseph, Silphi, Navo et Marion pour m’avoir conseillé, relus et soutenus.
PS : Une grosse bourde c’est glissé lors du maquettage. J’offre 2 tirages 20*30 aux premiers qui trouvent la coquille et/ou tapent sur la tête du maquettiste de ma part.
Et si Dieu était l’un d’entre nous,
serait-il vieux ?
J’aime les gens qui se remettent en question, même si cela les met dans une position inconfortable.
J’aime les souvenirs, même lorsqu’ils nous tordent les boyaux.
J’aime regarder le soleil se lever, alors qu’une jolie fille dort dans mon lit.
J’aime avoir le sourire, quoi qu’il m’arrive.
Le reste j’aime pas, ou presque.
(celui qui critique la musique, je lui casse les rotules, on c’est bien compris ?)