Accueil Ancien blog À chemin battu, il ne croît point d’herbeÀ chemin battu, il ne croît point d’herbeLeCrapo9 septembre 2006Ancien blog3 commentairesÀ méditer… Article précédent Logique floue Article suivant Kirikou Publications similairesPourquoi miauler quand nous pouvons rugir ?14 janvier 20094 commentairesLe monde est d’humeur massacrante12 janvier 20096 commentairesDépasser le passé Toute une histoire8 janvier 20091 commentaire 3 commentairesJe suis tout à fait d’accord avec toi , et cette photo en est une illustration. On devrait plus partager et s’entraider ….A la croisée des chemins on se loupe souvent d’une seconde…"Là où Attila passe, la nature trépasse" + "Pierre qui roule n’amasse pas mousse" = "À chemin battu, il ne croît point d’herbe"et ouais mon gars il faut passer à autre chose, sinon on ne s’en sort pas! (quelle intimité dites donc dans ce "mon gars" ;) )Laisser un commentaireAnnuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec * Nom * E-mail * Site web Ajouter un commentaire *Enregistrer mon nom, e-mail, et site web dans ce navigateur pour la prochaine fois que je commente.Laisser un commentaire ΔCe site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.
Je suis tout à fait d’accord avec toi , et cette photo en est une illustration. On devrait plus partager et s’entraider ….
A la croisée des chemins on se loupe souvent d’une seconde…"Là où Attila passe, la nature trépasse" + "Pierre qui roule n’amasse pas mousse" = "À chemin battu, il ne croît point d’herbe"
et ouais mon gars il faut passer à autre chose, sinon on ne s’en sort pas! (quelle intimité dites donc dans ce "mon gars" ;) )
Je suis tout à fait d’accord avec toi , et cette photo en est une illustration. On devrait plus partager et s’entraider ….
A la croisée des chemins on se loupe souvent d’une seconde…
"Là où Attila passe, la nature trépasse" + "Pierre qui roule n’amasse pas mousse" = "À chemin battu, il ne croît point d’herbe"
et ouais mon gars il faut passer à autre chose, sinon on ne s’en sort pas! (quelle intimité dites donc dans ce "mon gars" ;) )